vendredi 4 août 2017

Procréation gay ?

Les défilés de Gay Pride vont bon train sur la planète ! Récemment à Jérusalem. Joies et revendications sont les deux mamelles nourricières de ceux qui vivent une sexualité à part. L’une de leurs doléances est la procréation. Avoir des enfants étant le propre de l’homme comme de la femme, rien d’étonnant à celle-ci !

Sauf si l’on considère les droits bafoués de l’enfant ainsi né.

Pierre et Jacques sont deux homosexuels bien dans leur tête. Mariés depuis quelques années, ils décident, enfin, d’avoir des enfants. Le hic étant qu’aucun d’eux ne pouvant en porter, il leur faudra donc trouver une mère porteuse qui s’effacera définitivement après l’accouchement.

Chose promise et faite une fois que Pierre ait donné son sperme et quelques centaines de billets pour cela.

L’enfant né est un joli petit garçon dénommé Alain. Il est donc le fils, sur le papier, de Pierre et de Jacques.


Quelques mois passèrent, l’envie d’un nouvel enfant devint de plus en pus ardente. Cette fois-ci, c’est Jacques qui donnera son sperme à une mère couveuse anonyme et différente de la précédente.

L’enfant né est une jolie petite fille prénommé Madeleine. Elle est donc, elle aussi, la fille, sur le papier, de Pierre et de Jacques. Et la sœur d’Alain.

Les années passèrent et les deux frères et sœurs devinrent de très beaux adolescents. Tellement, qu’ils se plurent et décidèrent, comme leurs deux papas, de se marier. 

L’inceste étant encore interdit par la loi, les deux amoureux, pourtant génétiquement étranger l’un à l’autre, pourront-ils se marier ?

Rien n’est moins sûr ! Seule une loi, voire une autorisation juridique pourra permettre leur union.

Ceci dit, des hétéros créés par des homos, cela risque de faire désordre !

Le temps faisant son lit, les deux amoureux décidèrent de se séparer. Ils restèrent toutefois amis, et frères vu qu’ils ont les même parents, papa Pierre et papa Jacques.

lundi 31 juillet 2017

Réponse à l’antisioniste Shlomo Sand

Lorsque l’on veut assassiner son animal, on affirme l’excuse qu’il a la rage. Pour assassiner l’idée du Juif libre sur sa terre, Shlomo Sand, soutenu par le site d’extrême gauche systématiquement hostile à l’Etat du peuple juif (d’autres diraient antisémite), s’attèle à démontrer l’inéquation entre antisionisme et antisémitisme affirmée par le Président Emmanuel Macron.

Dans une lettre ouverte et intitulée « L’historien israélien Shlomo Sand remet en place Macron concernant son amalgame entre “anti-sionisme” et “antisémitisme” », l'ancien professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Tel Aviv [qui a démontré dans le passé un certain talent pour mélanger l’histoire et le folklore, notamment sur la réalité historique de la tribu Khazar juive ignorant l’écrasant consensus historique qu’elle n’avait jamais existé (dixit le Professeur Moshe Sluhovsky, président du département d’histoire et de l’école d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem)], tient à prouver à « l’inculte Macron » qu’existent de nombreux Juifs antisionistes pas antisémites.

Mais quid d’une ‘’démonstration’’ sans d’abord une attaque contre le Premier ministre israélien, légitime représentant de la majorité israélienne et donc du peuple juif ?

« Pour être tout à fait franc, j’ai été plutôt agacé par le fait que vous ayez invité Benjamin Netanyahou, qui est incontestablement à ranger dans la catégorie des oppresseurs, et ne saurait donc s’afficher en représentant des victimes d’hier ».

Nul n’aurait, évidemment, demandé à Sand ou à Plenel de représenter, en cette triste commémoration de la rafle du Vel d’Hiv, le peuple juif ! Pour un ‘’historien’’ désireux d’asseoir son raisonnement, mélanger politique et histoire déconsidère d’avance ses propos si avides de déconstruire l’équation présidentielle « L’antisionisme… est la forme réinventée de l’antisémitisme » qu’ils qualifient facilement l’auteur.


« Chacun de nous peut se prononcer sur le point de savoir si le projet de créer un Etat juif exclusif sur un morceau de territoire ultra-majoritairement peuplé d’Arabes, est une idée morale ».

C’est bien cette ‘’immoralité’’ que le monde musulman dénonce et que les antisémites reprennent à leur compte. La ‘’moralité’’ de Sand & Co se serait contentée de voir les Juifs apatrides ou dhimmis sur la terre de leurs ancêtres.

« Un enfant né d’un viol a bien le droit de vivre, mais que se passe-t-il si cet enfant marche sur les traces de son père ? ».

Ainsi, la renaissance de l’état du peuple juif sur une toute petite partie de la Palestine mandataire serait un « viol » ! Être contre le droit à l’autodétermination du peuple juif tout en étant farouchement en faveur de l’indépendance d’un peuple que nul n’avait, alors en 1948, recensé, n’est-il pas simplement de l’antisémitisme ? Oublier, par ailleurs, que ce même peuple d’arabes a reçu 80% du mandat anglais, soit plus de cinq fois ce que reçut le peuple juif en 1948, c’est faire montre soit d’une profonde inculture soit d’une omission intéressée.

L’intérêt de celle-ci est évident !

« traces de son père » ? Cet enfant aurait-il dû avoir honte du désir de celui qui le mit à l’abri des nombreux antisémites qui sévirent alors, mais aussi renoncer à se défendre face aux multiples agressions des antisémites que Shlomo Sand défend aujourd’hui ? Où serait cet enfant de nos jours, et Shlomo Sand lui-même, si les amis de ce dernier l’avaient emporté ?

Il est vrai qu’à la ‘’charge’’ de cet enfant, celui-ci n’a pas, contrairement à Sand, remplacé sa fierté d’être pleinement Juif et Israélien par une idéologie fétide !

« Et vint l’année 1967 : depuis lors Israël règne sur 5,5 millions de Palestiniens, privés de droits civiques, politiques et sociaux ».

Ce ‘’règne’’ s’est-il fait sur simple décision israélienne ? L’Egypte, la Syrie et la Jordanie n’avaient-ils pas comme projet antisémite de jeter les Juifs à la mer ? L’Etat d’Israël n’avait-il pas demandé au roi de la Transjordanie de ne pas prendre part dans ce sinistre projet ?

Quant aux « droits civiques, politiques et sociaux » dont les arabes dits ‘’palestiniens’ seraient privés, il faut être sacrément antisioniste pour ignorer que ceux-ci n’ont jamais posséder la nationalité israélienne et ne dépendent que de l’Autorité palestinienne

Par ailleurs, quelle sorte d’historien peut oublier, si aisément, les trois non de Khartoum de la Ligue arabe, ainsi que le double refus de 2000 et 2008 de l’Autorité palestinienne à la paix et donc à la création d’un pays pour ce peuple inventé en 1967 ?

mercredi 24 mai 2017

Lire correctement les actes de Trump, trop difficile pour les ‘’experts’’

Si l’on se base sur l’avis des ‘’experts’’ qui foisonnent dans les médias, y compris israéliens, l’enseignement que chacun en tire est, tel le titre du quotidien Le Monde, « Le grand flou de Donald Trump sur le conflit israélo-palestinien » ! Autrement dit, incapables de déchiffrer sa politique mais également de parfaites mauvaises fois ils l’accusent d’un ‘’grand n’importe quoi’’ comme ils le font pour tout autre sujet.

Est-ce vraiment le cas ? Pas vraiment si l’on reprend dans l’ordre ses propres gestes mais aussi ses déclarations et pas celles qu’on lui a mises dans la bouche.

Lors de la conférence de presse en février 2017 dans la capitale américaine, face à Benjamin Netanyahou, Donald J. Trump a déclaré un mois après sa prise de fonction : « Je regarde la solution à deux Etats, à un Etat, et si Israël et les Palestiniens sont contents, je suis content avec ce qu’ils préfèrent ». Analysé tout simplement, le Président US sera satisfait de la solution que l’Etat d’Israël choisira, car sans celui-ci rien ne se fera. 

Plus finement observé, il appelle les ‘’Palestiniens’’ a trouvé un terrain d’entente et à ne rien espérer de la communauté internationale. Ce qui défrise les ‘’experts’’ autoproclamés si habitués à ce que celle-ci dicte les conditions de la ‘’paix’’ à l’état du peuple juif !

Lors de la conférence de presse commune du trois mai, toujours à Washington et face cette fois-ci au Président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, Donald J. Trump a indiqué qu’« Il ne peut y avoir de paix durable si les dirigeants palestiniens ne condamnent pas à l’unisson les appels à la violence et la haine ».

Requête logique si l’on sait que la Paix ne va pas de pair avec la guerre.

Enfonçant le clou de la violence ‘’palestinienne’’, et certainement pour complaire aux ‘’experts’’ ne comprenant rien au conflit israélo-arabe, Donald J. Trump a déclaré le vingt et un mai lors d’un voyage dans la capitale de l’Arabie Saoudite que « Le Hamas et le Hezbollah sont des organisations terroristes ».

Arrivé dans l’Etat d’Israël le lendemain, il s’est dépêché, une kipa sur la tête, d’aller prier au Mur des Lamentations, rappelant ainsi à la planète et aux instances internationales, le lien intangible entre ce lieu, le Judaïsme et le peuple juif.


Au cours d’une visite rapide à l’Autorité palestinienne dans la ville de Bethlehem, il a rappelé indirectement à Mahmoud Abbas ce qu’il lui avait précédemment déjà dit lors de leur dernière rencontre : « On ne peut pas avancer vers la paix et parallèlement financer le terrorisme. La paix ne viendra pas dans une sphère où la violence est financée et récompensée ».

jeudi 11 mai 2017

Les réseaux sociaux et la pensée unique

Les réseaux sociaux, à en croire le politiquement correct, donnent dans la désinformation qui conduit à la propagande et facilite l’influence, forcément, néfaste à la collectivité. Activité qu’il faut donc bannir pour le ‘’bien-être’’ de la société entière.

Le hic étant de savoir qui sera le juge impartial qui décrétera l’information fausse ?


Dans l’attente de trouver cet oiseau rare, Facebook a annoncé dans un rapport publié le vingt-sept avril « avoir pris des mesures contre 30 000 faux comptes » en France depuis le treize avril dernier, soit dix jours avant le premier tour de l’élection présidentielle.

Sont-ils, à coup sûr, tous faux ? « Désormais, nous sommes capables de détecter des faux comptes de façon plus efficace. Nous n’évaluons plus le contenu lui-même, mais nous basons sur des modèles comportementaux pour détecter plus facilement ces faux comptes. Par exemple, nos systèmes peuvent détecter le partage répété du même contenu, ou encore une augmentation des messages envoyés »

Partager un même contenu et réagir à celui-ci, trop au goût de Facebook, peut donc conduire à la fermeture d’un compte tout à fait réel !

Toujours à poursuivre la ‘’fake news’’, le quotidien Le Monde, toujours si prompts à protéger le faible citoyen, a créé l’outil Décodex pour, dit-il, « (...) aider à vérifier les informations qui circulent sur Internet et dénicher les rumeurs, exagérations ou déformations ».

Là encore le juge impartial est quémandé !

Ainsi, la vérification sur le Décodex des sites Médiapart, l’Humanité, Libération, Le Monde ou encore Le Monde Diplomatique indiquera : « N’hésitez pas à confirmer l’information en croisant avec d’autres sources ou en remontant à son origine ». 

C’est le moins que l’on puisse dire à propos de ces médias ! Sembler honnête ne peut que rehausser le prestige de cet instrument qui n’a pas vocation à cracher sur les confrères défendant, mordicus, le politiquement correct !

Quels regrets que ce dispositif n’ait pas été imaginé plus tôt dans le temps ! Il aurait évité bon nombre de réelles fake news conduisant aux pires atrocités.

Ainsi les masses, qui ne possédaient pas encore de réseaux sociaux, adoraient la chasse aux sorcières et les bûchers. Sans l’aide de ces fameux réseaux, les pogroms avaient un certain succès surtout lorsqu’il fallait piller les biens des victimes. Les turcs s’étaient réunis dans leur haine de l’arménien. Quelques années plus tard, les Allemands trouvèrent le juif fautif de leur mauvaise situation.

On pourrait multiplier les exemples presque à l’infini pour finir par s’interroger quant à l’origine de cette aliénation des peuples qui n’avaient, sur le moment, rien trouvé à redire sur ces atrocités car par trop endoctrinés par le politiquement correct du moment !

mardi 28 février 2017

Un combat perdu d’avance par les médias

Le quotidien The New York Times a diffusé, lors de la cérémonie des Oscars, un spot politique censé répondre à la guerre de Donald J. Trump contre les médias. Cette communication, également éditée sur papier, proclame des libellés supposés démontrer ce qu’est la bataille de la vérité pour les médias.

Tout un programme pour une seule idée : faire croire en leur sincérité, leur rectitude, leur précision, ainsi que leur honnêteté intellectuelle !


« La vérité est dure. La vérité est cachée. La vérité doit être poursuivie. La vérité est difficile à entendre. La vérité est rarement simple. La vérité n'est pas évidente. La vérité est nécessaire. La vérité ne peut pas être dissimulée. La vérité n'a pas d'agenda. La vérité ne peut pas être industrialisée. La vérité ne prend pas partie. La vérité n'est ni rouge, ni bleue. La vérité est dure à accepter. La vérité ne prend pas de précautions. La vérité est puissante. La vérité est attaquée. La vérité est une cause noble à défendre. La vérité requiert une prise de position. La vérité est plus importante que jamais ».

Ces logorrhées, telles que placées, rendent les journalistes citoyens exemplaires, des Don Quichotte de LA vérité !

Sauf que là encore, la vérité est ailleurs et que ces sentences mises dans un ordre différent rapprochent les lecteurs de la réalité du terrain qu’ils connaissent !

« La vérité est nécessaire, disent-ils ! En effet, La vérité ne peut pas être dissimulée ! La vérité est dure parce qu’intangible face à la réalité. La vérité ne prend pas de précautions. Malgré cela La vérité doit être poursuivie. La vérité ne peut pas être industrialisée. La vérité est rarement simple parce que La vérité n'est pas évidente. La vérité est difficile à entendre parce que La vérité est puissante. C’est pour cette raison que La vérité est attaquée par cette corporation au service du politiquement correct et que La vérité est cachée au plus grand nombre par ses serviteurs. La vérité n'a pas d'agenda. La vérité n'est ni rouge, ni bleue. La vérité ne prend pas partie

Exact !

dimanche 26 février 2017

La gauche veut tuer l’Etat d’Israël

François Hollande terminant son triste mandat présidentiel dans trois petits mois, des élus, très très majoritairement de gauche, veulent lui faire reconnaître un état de « Palestine » avant son départ pour l’oubli. 

C’est, apparemment, le seul problème actuel que rencontrent les Français !

Dans une énième lettre publique, cent cinquante-trois parlementaires de l’Assemblée parlementaire et du Sénat affirment que « La France doit reconnaître l’Etat de Palestine ». L’Etat d’Israël n’étant pas prêt à vivre sous une menace perpétuelle d’une ‘’Palestine’’ gouvernée par le Hamas et l’Iran, chacun imaginera aisément l’exigence suivante de ces cent cinquante-trois hommes d’état et de ‘’grandes valeurs morales’’ !

Deux ‘’amis’’ de l’Etat d’Israël

Le risible de leur demande est conforté par leur texte !

Ainsi, ils dénoncent le président américain qui « a fait connaître sa volonté de revenir sur le statu quo observé jusqu’alors par les pays occidentaux en transférant l’ambassade américaine en Israël de Tel- Aviv à Jérusalem ».

Un statu quo qui, cependant, les dérange dès lors que rien ne bouge et nuit gravement à leur cause anti-israélienne.

« Forte de ce soutien, la Knesset vient de voter la légalisation des colonies sauvages de Cisjordanie (…) ». Une approximation que personne dans leur rang ne relèvera ! Il s’agit d’une loi imposant un dédommagement aux éventuels propriétaires ‘’palestiniens’’ plutôt que la démolition du bâtiment construit.

Ces signataires étant pour un état judenrein, chacun comprendra leur émoi.

« La France doit marquer sa volonté de sortir de l’impasse sur ce conflit en réaffirmant solennellement, au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, que le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. Il en va du respect du droit international comme de la sécurité d’Israël ».

Que nul ne rie !

- Si impasse il y a, elle est due notamment à la France qui autorise l’Autorité palestinienne à refuser toutes négociations directes et à attendre qu’Israël plie aux diktats internationaux pour être servie.

- Pour ce qui est du « droit international », quel est l’alinéa de ce droit qui indiquerait l’obligation d’un état de « Palestine » ?

- Quant à la « sécurité d’Israël »… Le Hamas et l’Iran rient encore de ces idiots très utiles à leur cause antisémite commune.

D’autres élus, de valeurs morales beaucoup plus respectables, auraient d’abord exigé que le ‘’peuple palestinien’’ se débarrasse de ses dictateurs, extirpe la haine du Juif de ses tripes et commence à construire une société véritablement démocratique.

Mais la France a les élus qu’elle mérite !

mercredi 22 février 2017

Les médias, danger des démocraties !

Il n’y a plus aucun doute à avoir ! Les médias nationaux, par leur vision collective et exclusive, sont le fléau par lequel les sociétés démocratiques s’autodétruisent peu à peu. 

Leur apport à cette fin est plus que conséquent.

Ainsi de Donald J. Trump moqué par la planète journalistique pour avoir parlé d’un « attentat imaginaire » en Suède. Sauf que le nœud de son discours avait alors comme sujet l’insécurité occasionné par l’arrivée de milliers de « réfugiés ». 

Insécurité illustrée par des émeutes dès le surlendemain dans le quartier de Rinkeby à Stockholm.

Ou encore Nicolas Dupont-Aignan qui, déjà en 2014, voulait se débarrasser des « éditorialistes de bazar » de Canal + et autres vecteurs d’un politiquement correct de plus en plus pesant !

Deux hommes politiques, parmi tant d’autres, qui expriment le dégoût qu’inspirent ces moyens d’informations !

Un écœurement que l’on retrouve, jour après jour, dans les textes concernant le conflit proche-oriental et dans lequel l’Etat d’Israël est montré systématiquement comme le « coupable » !


Il en est ainsi de Libération publiant un texte intitulé « En Israël, le soldat ayant tué un Palestinien s'en tire avec les honneurs » !

Tout dans le titre est dit ! L’Etat d’Israël ‘’glorifie’’ les assassinats de civils !

Le texte est la pour confirmer la première impression :

« Les pays se choisissent toujours des héros à leur image. Et depuis un an celui de 65% à 70% des Israéliens, selon les sondages, s’appelle Elor Azaria, un soldat franco-israélien condamné mercredi à dix-huit mois de prison pour avoir, en mars 2016, achevé au sol un Palestinien blessé ».

« Etonnant dans un pays qui se veut «la seule démocratie du Proche-Orient» ? En fait, ce manque d’empathie est le résultat de cinquante ans d’occupation des territoires palestiniens par Israël. Un demi-siècle durant lequel les Israéliens ont appris à tellement mépriser les Palestiniens qu’une partie d’entre eux en est arrivée à trouver normal de leur tirer une balle dans la tête lorsqu’ils sont au sol ».

Pour quelles raisons se trouvait-il au sol ? Nissim Behar ne l’écrira pas ! Seuls ceux connaissant l’affaire dans son ensemble saisiront la haine qui motive ce pigiste.

vendredi 17 février 2017

La rage des gauchistes

Lorsque l’on veut abattre son chien on affirme qu’il a la rage ! Lorsque l’on veut abattre un homme politique, Président de son état, on assure qu’il occupe illégitimement son poste, qu’il est incapable, fou à enfermer ou encore qu’il représente une menace pour le pays.

Toutes choses, et d’autres, hurlées jour après jour, dans la quasi-totalité des tabloïds de la planète, par nos ‘’maîtres à penser’’ si ‘’compétents’’ et ‘’rationnels’’ que sont les journalistes !


Sauf qu’à brailler sans cesse et sur tout acte de Donald Trump, ceux-ci finissent et finiront par rebuter leurs lectorats les plus fidèles. 

Telle Alexandra Schwartzbrod qui, dans un texte intitulé « Israël: la position puérile et dangereuse de Trump », s’offre le plaisir de taper à la fois sur le Président US et l’Etat d’Israël, ses sujets fétiches.

« S'exprimant comme un enfant à la maternelle, le président a déclaré mercredi ne pas trancher entre les solutions à un ou deux Etats. Et semble ne pas comprendre qu'un statu quo pourrait plonger à terme l'Etat hébreu dans la guerre civile ».

« On aurait dit un enfant, à la maternelle, répétant à la maîtresse les propos entendus dans la bouche de ses parents ».

A savoir :

« L’enfant » est milliardaire, possède des dizaines d’entreprises, assure un revenu à des milliers de travailleurs à travers la planète et a été élu, très largement, Président des Etats-Unis. 

A la portée de tout enfant évidemment !

On reste étonné que cette pigiste ‘’adulte’’ n’en ait pas fait autant, sinon plus !


Quant à la position personnelle du Président us sur le conflit proche-oriental, il est vrai qu’elle dérange ceux qui avaient tant conseillé l’Etat d’Israël toutes ces dernières années ! Celui-ci se retrouve de nos jours avec le groupe terroriste Hamas gouvernant la bande de Gaza, et le Hezbollah armé de dizaines de milliers de missiles, violant ainsi la résolution 1701, et administrant le Liban.

Sans oublier une Autorité palestinienne refusant encore et toujours de reconnaître « l’entité sioniste » comme état du peuple juif malgré les accords d’Oslo.

jeudi 9 février 2017

L’Etat d’Israël, un accusé de choix !

Le Décodex est un outil merveilleux. Il rappel à chacun combien il est loisible de rire franchement de ces journaux se glorifiant d’être « d’informations fiables ». Une logorrhée qui veut nous faire comprendre que les faits annoncés sont vérifiés et vérifiables, et les analyses crédibles et de bon sens.

Tout un programme !

Dans un édito de Libération intitulé « Israël : face à la colonisation, marteler le droit » et écrit par Alexandra Schwartzbrod, Directrice adjointe de la rédaction, les poncifs de menteuse et d’endoctrinée reviennent le plus souvent !


Ainsi, le lecteur lambda sera désinformé en apprenant que « (…) le Parlement israélien a voté lundi soir une loi qui permettra à l’Etat de s’approprier des centaines d’hectares de terres palestiniennes, une sorte de vol organisé et légalisé ».

Outre que cette éditorialiste serait incapable de démontrer historiquement et légalement que ces « terres sont palestiniennes », la loi de régularisation votée « (…) considère les propriétaires spoliés en Cisjordanie comme «expropriés d’office» et leur propose une compensation (…) ».

Dixit le collègue de cette menteuse Nissim Behar exerçant dans le même tabloïd !

Subséquemment, il ne s’agit pas d’un « vol légalisé » comme affirmé mais de dédommager les propriétaires ‘’palestiniens’’ dans le cas où leurs titres de propriétés seraient reconnus par un tribunal. Pour un ‘’palestinien’’ menacé de mort par l’Autorité palestinienne en cas de vente de sa terre à un Juif, celui-ci se verrait soi gratifié d’une terre équivalente soi enrichi de plusieurs dizaines de milliers de shéquels.

Chacun devinera aisément quel sera son choix ! Option évidemment insupportable pour les pro-‘’palestiniens’’ de Libé !

Autre insulte à l’intellect de celle qui se prétend Directrice adjointe du quotidien :

« Si Israël est un Etat démocratique, celle-ci devra déclarer le texte voté lundi contraire aux lois fondamentales du pays ».

Dans le cas contraire ? L’Etat d’Israël ne serait plus démocratique ? Serait-elle juge en la matière elle qui officie dans un journal où trône exclusivement un anti-israélisme primaire pour cause de doctrine islamogauchiste ?

De surcroît, parler de « lois fondamentales » concernant ce sujet mais sans citer lesquelles démontre le peu de crédibilité de cette journaleuse ! Aucune légalité n’ayant fixé les frontières et les Accords d’Oslo attestant l’administration israélienne dans la zone C de Judée et Samarie, on voit mal quelle loi étaiera un verdict dans ce sens !

jeudi 2 février 2017

Quand Le Monde fait de l'Humour!

Il ne faut pas croire que le journal de ‘’référence’’ Le Monde ne fait que dans l’information. Il lui arrive de faire, de temps à autre, dans l’humour. Certes involontairement, mais qui fait quelque bien aux mandibules des lecteurs, actuellement très contractées!

Décider à pourfendre la désinformation, ou du moins celle qu’il juge comme telle, ce quotidien du soir a créé un outil qu’il dénomme le Décodex. Pour aider, affirme t-il, à « vérifier les informations qui circulent sur Internet et dénicher les rumeurs, exagérations ou déformations ».

Connaissant le ‘’sérieux’’ de ce tabloïd, chacun ira donc vérifier le ‘’danger’’ à fréquenter tel ou tel site !

En premier lieu, celui dudit journal lui-même, lemonde.fr.


Nous voilà ‘’rassuré’’ quant à son sérieux quand bien même y manque l’indication de sa couleur politique !

Deuxième recherche, Libération, autre parution combattant la ‘’désinformation’’ de la fachosphère.


Encore ‘’rassurant’’ !

L’Humanité, édition aux abois économiques, est lui aussi jugé « fiable » par le Décodex.


Idem pour Le Monde Diplomatique.


De même pour le site Mediapart :


Nous pouvons donc être ‘’satisfait’’, ce n’est pas dans les sites précités, de gauche et d'extrême gauche, que l’on trouvera des « rumeurs, exagérations ou déformations » !

En revanche.... si l’on recherche le site JSSnews


Quelle « colonisation » ? Celle, entre autres, de Jérusalem et de la Judée par… les Juifs !

vendredi 20 janvier 2017

Donald J. Trump doit imposer le caractère juif de l’Etat d’Israël

Nul ne peut dire que la paix concernant le conflit proche-oriental est à portée de main. Cela, malgré que la planète ‘’amie’’ ait prodigué, pendant plusieurs décennies, des conseils à l’allié israélien, voté des résolutions et même des condamnations incroyables envers celui qui a « colonisé » la « Palestine » dénommée jusqu'à la résolution 181 Judée et Samarie !

Celui-ci, refusant de se suicider, est tout de même prêt à des concessions douloureuses qui permettraient la naissance d’un énième état musulman vivant en paix auprès de la nation du peuple juif. 

Objectif inacceptable pour les tarés d’Allah qu’ils aient pour nom, entre autres fascistes, Fatah, Hamas, Hezbollah ou Iran.


Il est donc temps que le Président Donald J. Trump impose cette paix afin que les ‘’Palestiniens’’ et leurs ‘’frères’’ goûtent pleinement la défaite et ne rêvent plus à l’éradication de l’Etat d’Israël. Le parler vrai et la réalité devront donc balayer la politique politicienne et le narratif mensonger ayant permis l’éclosion d’un peuple ayant comme seul visée la fin de « l’entité sioniste ».

D’ici quelque jours, l’ambassade US sera, semble t-il, transférée de Tel-Aviv vers Jérusalem. Si cela est un premier point positif, la déclaration que cette ville est et restera la Capitale une et indivisible de l’état juif doit accompagner ce déplacement.

Le second point doit s’attarder sur l’exigence ‘’palestinienne’’ d’un « droit au retour » au sein même de l’Etat d’Israël de « réfugiés » héritant de ce titre de père en fils. S’il faut trouver une solution à ces individus, rejetés mécaniquement par leurs pays de naissance, celle-ci doit exclure totalement une quelconque immigration dans l’état juif.

L’état à naître devra opter pour un régime démocratique tel que connu dans le monde occidental. Un homme une voix. La tutelle internationale garantira le respect de cette exigence, quitte à en prendre le contrôle dès un écart observé.

Autre point crucial, la « Palestine » ne sera pas judenrein. Les Israéliens vivant dans le territoire attribué à ce nouvel état auront le loisir de vivre, s’ils le désirent, entant que citoyens. Nul nettoyage ethnique ne sera toléré.

lundi 16 janvier 2017

La France, puissance internationale ? La bonne blague !

Lors d’un entretien, accordé à la chaîne française France 3 , le Ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a assuré que le déplacement de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem « (…) serait extrêmement lourd de conséquences (...) Quand on est président des États-Unis, sur cette question on ne peut pas avoir une position aussi tranchée, aussi unilatérale, il faut chercher à créer les conditions de la paix ».

« Je crois que Donald Trump sera dans l'impossibilité de le faire » a t-il ajouté !


Chacun s’interrogera donc sur les lourdes suites attendues si le Président élu us tiendra parole ?

- Les Israéliens rompraient-ils les liens diplomatiques avec les USA ou tout autre pays ? Nul ne l’imaginerait !

- Envahiraient-ils l’ambassade us comme l’ont fait les Iraniens en 1979 ?

- Initieraient-ils une terreur menaçant la communauté internationale ?

- Refuseraient-ils toutes négociations de paix ?

Rien de tout cela !

Les seuls effets nuisibles faisant écho à cette volonté us, souhaitée depuis fort longtemps par les deux chambres parlementaires, ne pourront être que les réactions violentes venant de la part des ‘’palestiniens’’ et du monde arabe, coutumiers de la menace, de l’intimidation, du chantage, plutôt que du dialogue et de la paix.

Une réalité qui explique la situation catastrophique actuelle des pays rattachés à cette civilisation !

Mais le plus nauséeux de ce constat est le réflexe de ce ministre français, d’avance apeuré à l’idée d’un monde arabe mis devant le fait accompli d’une Jérusalem juive ! Un ministre ayant un maroquin dans le gouvernement d’un état qui se targue d’être la cinquième puissance mondiale.

Une nation qui n’a de cesse, depuis plusieurs décennies, d’être ‘’courageusement’’ en pointe dans le combat anti-israélien au nom d’une politique arabe tout en se prétendant « ami » de l’Etat d’Israël !

Une ‘’puissance’’ ayant voté récemment en faveur de résolutions de l’Unesco attribuant les lieux saints du Judaïsme à l’Islam et incapable de rappeler que le peuple juif a plus que des droits sur Jérusalem mais pareillement en Judée et Samarie !

Une soumission totale qui rappelle étrangement la conduite française lors d’une autre époque à l’égard des juifs, l’Etat d’Israël étant devenu de nos jours, à son tour, le juif des nations.

vendredi 13 janvier 2017

Eliminer, coûte que coûte, Donald J. Trump

Le 8 novembre 2016 l’homme d’affaire Donald J. Trump a été élu Président des USA. Résultat qui fut un coup terrible pour Hilary Clinton, le parti Démocrate et Barack Hussein Obama qui fit campagne comme pour un suffrage le concernant directement.

Depuis cette date, il ne se passe pas une journée sans une tentative désespérée de lui reprendre cette victoire !

Homme dangereux pour la gauche

Il n’a suffit que de quelques jours pour qu’une demande de recomptage des voix ne soit exigée et obtenue. Vérification qui attribua, au final, des bulletins de votes supplémentaires au président élu !

Après ce revers est venue une tentative de corrompre les grands délégués chargés de confirmer le résultat. Une pétition dans ce sens a obtenu près de cinq millions de signataires.

Vint ensuite l’affirmation et la répétition jusqu’à plus soif d’un piratage des Usa par la Russie. L’horrible de ce fait n’étant pas trop, semble t-il, cet espionnage par lui-même, mais seulement qu’il ait favorisé Donald J. Trump lors de la campagne électorale.

Tout cela ne suffisant pas pour le faire chuter, un dossier comprenant des accusations à charge, que nul ne peut prouver, a été diffusé dans la presse. L’essentiel de celui-ci serait une vidéo compromettante, détenue par le Kremlin, permettant l’exercice d’un chantage direct sur le Président élu.

Gageons que, là encore, cela s’avérera mensonger !

Au delà de ces faits très peu respectueux de l’esprit de la démocratie, il est désormais inévitable de s’interroger sur le motif d’une telle hargne à vouloir empêcher l’élu de présider ? Qu’elle est donc la réelle motivation de ce lynchage publique d’un homme qui, jusqu’à preuve du contraire, a toutes ses facultés intellectuelles et un casier judiciaire vierge ?

Ses frasques, son langage, son excès de richesse ou son manque d’expérience politique ne peuvent être des réponses suffisantes et correctes. Si cela était, alors peu d’être humain pourraient diriger les USA ni tout autre état !

La seule réponse logique étant que le programme prôné par celui-ci est probablement ressenti comme un véritable danger pour l’ordre établi.

mercredi 11 janvier 2017

Transfert de l’ambassade us à Jérusalem

Le nouveau Président des USA Donald Trump a, selon celle qui a dirigé sa campagne électorale Kellyanne Conway, comme « priorité absolue » de déplacer l’ambassade américaine de Tel-Aviv vers Jérusalem, reconnaissant, de fait, cette ville comme la Capitale de l’Etat d’Israël.

C’est dit et répété à tel point que l’Autorité palestinienne commence à réagir !

Le Président (à vie) de celle-ci, Mahmoud Abbas, a écrit à différents dirigeants, dont ceux de la Russie, de la Chine et de l'Union européenne, les appelants à ne pas « épargner leurs efforts » pour contrer un tel déplacement.

Il a également prévenu Donald Trump que ce déménagement représentait une « ligne rouge » pour les ‘’Palestiniens’’ : « Toute déclaration ou prise de position qui remet en cause ou modifie le statut de Jérusalem est une ligne rouge, et nous ne l'accepterons pas ».

Saëb Erekat, Secrétaire générale de l’Olp, a averti que si les Etats-Unis transposaient leur ambassade à Jérusalem, cela « détruirait les perspectives de paix », prédit une colère publique qui entraînera la fermeture de toutes les ambassades américaines du monde arabe, que l’Organisation de libération de la Palestine annulera sa « reconnaissance de l’Etat d’Israël »  ainsi que tous les accords déjà signés avec ce pays et, enfin, qu’il démissionnera.

D’autres pays, tel la Jordanie, ont exprimé la même vision ! Elle a le mérite d’être claire. Il y aura du grabuge !

Non pas tant pour cause d’un transfert d’une ambassade mais bien que Jérusalem ne soit reconnue comme une ville juive et la Capitale du pays honni et voué à l’éradication.

Des paroles en l’air ?

Deux choix s’annoncent donc pour le Président élu :

- Un transfert de l’ambassade et plusieurs pays musulmans s’enflammeront. On peut supposer qu’il y aura des manifestations géantes devant les ambassades us, voire que celles-ci soient envahies et détruites, et que quelques gouvernements rappelleront leurs ambassadeurs, ou même désigneront les diplomates américains persona non grata.

Quelques attentats sont mêmes à envisager ainsi que les pressions de pays ‘’amis’’, telle la France, assurant le ‘’tort’’ causé à la paix, jamais obtenue jusqu’à présent !

Sans oublier l’état juif qui subira un énième assaut de la barbarie ‘’palestinienne’’ très vite maitrisé par Tsahal.

- La deuxième solution serait, sous la pression, d’annuler directement ou par voie détournée ce transfert tant annoncé depuis 1995 par les deux chambres parlementaires us. Ce renoncement serait la signature de la lâcheté occidentale, particulièrement us, et une sacrée victoire pour ce monde musulman si désireux d’islamiser la planète.

mardi 10 janvier 2017

L’Etat d’Israël jeté en pâture

Le quinze janvier prochain doit s’ouvrir à Paris une conférence internationale sur le Proche-Orient, avec quelque 70 pays, pour réitérer le soutien de la communauté internationale à la solution à deux Etats, israélien et palestinien.

Réunion politique dénoncée par le Premier ministre israélien mais tout de même maintenue.

L'avenir tracé de la France

Ce qui a aussitôt fait sortir du bois une flopée d’anciens ambassadeurs français assurant, lors d’un appel publié par Le Monde -éternel complice, que « « La France doit reconnaître l’Etat palestinien avant qu’il ne soit trop tard ».

Tous les poncifs menant le lecteur ignare et/ou antisémite à supporter cette demande ont été utilisés : « Terres palestiniennes », « siège de Gaza », « mainmise grandissante sur Jérusalem », « mépris du droit international » ou encore, mais liste non exhaustive, « gouvernement au nationalisme religieux » !

Ce qui conduit très logiquement les signataires à s’interroger ingénument : « L’Etat palestinien peut-il encore résulter d’une négociation bilatérale ? ».

La réponse coulant de cette ‘’réflexion’’ ne peut être que non !

Cependant, tout quidam, refusant la lobotomisation ambiante et obligatoire, s’interrogera sur les refus ‘’palestiniens’’ des deux propositions de paix émises par Ehud Barak en l’an 2000 et par Ehud Olmert en 2008 ?

Qu’a-t-il manqué alors que les ‘’Palestiniens’’ réclament aujourd’hui ?

Les « frontières de 1967 », exigées de nos jours, ont été quasiment, sinon totalement offertes alors, la « décolonisation » devenant ainsi inévitable, mais aussi le partage de Jérusalem, y compris le Mont du temple mis sous tutelle internationale.

Qu’espèrent donc obtenir le gouvernement français et les pétitionnaires de plus de ce qui a été proposé par ces deux Premiers Ministres ?

-Pour tout quidam honnête intellectuellement rien de plus !
-Pour ceux connaissant les méandres de la politique arabe française faisant le jeu de l’Autorité palestinienne et de ses mandataires antisémites, sera ainsi obtenu un état reconnu quasi internationalement, certes sur le papier mais sans négociations directes et surtout sans concessions majeures ‘’palestiniennes’’ pour une paix digne de ce nom !

Tel l’abandon d’un « droit de retour » de millions de « réfugiés » au sein de l’Etat du peuple juif.

Ce qui conduira, par la suite, un futur gouvernement français, docile à cette même politique arabe, et ces mêmes tristes ambassadeurs à requérir des sanctions envers l’état juif qui refuse, encore et toujours, le « droit international » !

Voilà exactement ce à quoi joue cette France encouragée par des élections qui approchent. L’électeur antisémite est à flatter !

« Un encadrement international s’impose donc dans lequel la France, amie des Israéliens et des Palestiniens, doit être au premier rang. L’initiative diplomatique qu’elle a prise est essentielle et doit être soutenue par tous les Etats responsables, proches ou lointains, désireux de définir les conditions d’une paix juste et durable ».

Interdiction de rire !