dimanche 31 juillet 2011

L’antisionisme justifié par la Norvège

La Norvège vient de connaître un acte de terreur que l’on peut comparer à bien d’autres exécutés à travers la planète. Notamment à ceux perpétrés en Israël, pays en proie au terrorisme ‘’palestinien’’ depuis plusieurs décennies pour cause de haine ! Cependant, dans une interview au quotidien israélien Maariv, l’ambassadeur de Norvège en poste en Israël montre sa divergence au sujet de cette comparaison en affirmant qu’il y aurait « de la similarité et de la différence » entre le terrorisme palestinien et celui d’Anders Breivik

- « Les Palestiniens font cela à cause d’un but défini qui est lié à l’occupation israélienne. Il y a des éléments de vengeance et de haine contre Israël. En plus de cela, vous pouvez ajouter l’élément religieux qui est lié à leurs actions », a-t-il estimé.

- « Dans le cas de l’attaque terroriste en Norvège, le meurtrier avait une idéologie qui affirme que la Norvège, particulièrement le Parti travailliste, oublie la culture norvégienne ».

- « Nous Norvégiens, considérons l’occupation comme la cause de la terreur contre Israël ». Fin de citations.

Si l’on voit immédiatement qu’il y a bien de la similarité dans la méthode et le ressentiment, l’on s’interrogera quant à la « différence » et, ainsi, sur cette justification indirecte du sang versé israélien par ce qui serait une sorte de ‘’résistance’’ à l’encontre du ‘’colonisateur’’ juif.

En effet ! Le terroriste Anders Breivik a commis cet acte condamnable pour, selon ses dires, son refus de voir son pays s’islamiser. Le nombre croissant de Musulmans en Norvège, leurs exigences d’une religiosité libre au sein de communautés locales organisées autour de leurs valeurs et de lieux de prières de plus en plus nombreux lui ont semblé être, à coup sûr, une occupation de sa terre.

Si tous les Européens, de plus en plus nombreux, n’agissent pas de cette façon pour exprimer leur ras le bol d’une immigration non contrôlée ils ne s’opposent pas moins fortement à l’installation d’une civilisation qui contre la leur voire la remplace.

Opposition de plus en plus bruyante qui confirme donc, pour parodier les allégations de l’ambassadeur, ‘’ l’oubli de la culture européenne ’’ par les partis et hommes politiques de l’Union européenne.

Durban III : La haine en marche


Les Tchèques, les Italiens les Hollandais ont déjà annoncé leurs retraits de la farce onusienne honteuse et abjecte qui aura lieu cette année en septembre à New York et que l'on nome Durban III. Attitude bien compréhensible lorsque l'on comprend par qui est manipulée l'Organistion des Nations Unis

D'où l'appel, pour ceux qui le peuvent, à se rassembler le 21 septembre 2011 à 11heures du matin au Dag Hammarskjoeld Plaza. Durban3NYC



Merci à Ashckel.info pour la traduction en français.

jeudi 28 juillet 2011

Portrait de Valérie Hoffenberg selon le Canard Enchainé.

Valérie Hoffenberg est candidate dans la huitième circonscription des Français de l’étranger. Le Canard Enchainé nous dresse une image de cette candidate. Une prise de bec évidemment satirique, de gauche mais à laquelle il est difficile de s’élever en contre.







mardi 26 juillet 2011

La résolution 273

Les ‘’Palestiniens’’, par la voix de Saëb Arekat, affirment que la résolution 181 de novembre 1947 fut celle qui reconnut l’état d’Israël comme membre à part entière de l’ONU. 

Cette assertion, comme beaucoup d’autres de leur part, ne tient pas la route après une petite vérification. 

En effet! Seule la résolution 273  de Mai 1949 faisant office de loi a décidé d’admettre Israël au sein de l’Organisation internationale. Une décision qui fut prise par l’Assemblée générale suite au rapport du Conseil de sécurité recommandant son admission et avisant que ce pays est un « état pacifique », « capable et disposé à remplir les obligations de la charte »,.

Outre que l’état de « Palestine » en devenir n’est en rien pacifique, ne serait-ce que par son refus de reconnaître Israël comme nation du peuple juif, la résolution 273 établit sans conteste le fait que celle souhaitée en septembre prochain n’aura aucune incidence juridique tant que le Conseil de Sécurité ne le recommandera pas. La seule finalité de celle-ci n’est autre que de faire monter la pression pour plier l’état juif aux conditions ‘’Palestiniennes’’ qui le conduiront peu à peu vers sa propre éradication.

Les pays, notamment européens, participant à cette farce seront comptables des malheurs à venir dans cette région.

vendredi 22 juillet 2011

Des hommes de paix ou de guerre ?

Il est bon de savoir que quelques ‘’grand hommes’’ européens se penchent sur le berceau de la ‘’Paix’’ au Proche-Orient. Hubert Vedrine à leur tête. Dans un «APPEL. Pour la reconnaissance de l’Etat palestinien » ceux-ci « appellent les gouvernements de l'Union européenne à reconnaître l’Etat de Palestine en septembre » car l’Europe a déjà admis que les ‘’Palestiniens’’ « se sont rapprochés de cet objectif en construisant un système de gouvernance cohérent et après avoir reconnu qu’ils ont coopéré avec Israël sur les questions de sécurité » (sic).

Il faut croire que ces ‘grands hommes’’, et l’Europe donc, sont quelque peu malvoyants. Voire quelque peu malveillants envers l’état juif car nul n’ignore que les ‘’élus’’ de l’Autorité palestinienne ont dépassé depuis longtemps la date limite de leurs mandats, y compris son Président Mahmoud Abbas. Ce qui pose la question de leurs légitimités.

Le second point frisant le ridicule est l’assertion d’une « cohérence » dans la gouvernance de la région appelée à devenir la future « Palestine ». Un territoire divisé où y règnent, sans partage, les deux frères ennemis que sont le Fatah et le Hamas. Ce qui rendra « la nécessité pour la Palestine indépendante de négocier avec Israël sur la base des paramètres reconnus internationalement » problématique, voire impossible. Sauf à négocier l’existence de deux « Palestine ».

Les paramètres, nous disent-ils plus loin, « internationalement agréés pour un accord de paix – qui garantirait la sécurité de l’Etat d’Israël et d’un Etat de Palestine viable – ont été réitérés par le président Obama dans son discours du 19 mai ». Des paramètres qui, cependant, oublient l’élément de base primordial que peut être la reconnaissance d’Israël comme nation du peuple juif. Des paramètres bien vagues et nullement agrée par ce pays dont même Barak Obama ne se fait pas totalement le coursier. Ce qui a causé l’échec de la dernière réunion du Quartet. Mais de cela aucune mention.

mercredi 20 juillet 2011

Encore la question juive !

On se souvient que les membres du Quartet, réunis il y a peu à Washington pour tenter d’asseoir les Israéliens et les ‘’Palestiniens’’ autour de la table de négociations, se sont séparés sans aucun résultat. Pour la simple raison, selon le Ministre des affaires étrangères Français Alain Juppé, que la Russie, l’Onu et l’UE ont refusé une proposition américaine qui était « en train de déséquilibrer les paramètres de négociation que l'Europe avait proposé » (sic).

Quelle pouvait bien être celle-ci, sinon celle contenant, toujours selon ce ministre, la mention d'un « État juif ». « Que je sache, aujourd'hui en Israël, il y a des Juifs mais il y a aussi des arabes », a-t-il ajouté.

C’est à de petits détails que se révèle la perte du bon sens !

En fait, il ne s’agit nullement qu’Israël obtienne une quelconque autorisation à être ce qu’il est mais plutôt une reconnaissance explicite de sa finalité. A savoir, être un refuge pour le peuple juif en cas de nécessité et donc être la nation de ce peuple. Et cela cause problème dans le monde musulman et, par la bande, à ces états occidentaux et surtout européens ayant généralement beaucoup d’intérêts et peu d’amis.

En outre, que cet état contienne d’autres minorités bénéficiant des mêmes droits n’est pas en soi une justification d’une interrogation sur cette finalité. Le contraire serait, en fait, un moyen de satisfaire les ‘’Palestiniens’’ et leur objectif d’une terre Judenrein. Mais aussi le moyen de disculper a postériori le monde musulman dans sa tentative de jeter les Juifs à la mer en 1948 ainsi que des pogroms du début du siècle lorsque l’idée d’un renouveau d’un foyer juif sur la terre ancestrale prit de l’ampleur.

dimanche 17 juillet 2011

Le style nauséeux du site d’infos Lalibre.be

Lalibre.be se veut être un site d’informations. A la lecture d’un article sur le conflit proche-oriental intitulé « Une voix différente », chacun pourra raisonnablement s’interroger quant au véritable objectif recherché par l’auteur. Celui-ci nous relate, le fait que des ‘’Palestiniens’’ et des Israéliens ont manifesté « côte à côte, vendredi, le long de la "ligne verte" d’avant juin ‘67 qui séparait Jérusalem Est et Ouest » dans une « marche de l’indépendance ».

Au travers de ce sujet, le style d’écriture choisi conduit immanquablement à une condamnation à tous propos des Israéliens, voire à leur haine. Une tournure pas très honnête et amplement partagée dans les médias !

La manifestation a été organisée, nous dit le texte, pour le côté israélien par le « Mouvement de Solidarité pour Cheikh Jarrah qui manifeste chaque vendredi contre la "judaïsation" du quartier palestinien Cheikh Jarrah à Jérusalem-Est », et pour le côté ‘’palestinien’’ par « les Comités populaires de Jérusalem-Est ». Si le lecteur avait imaginé un tant soi peu une manifestation mixte juive et musulmane plus ou moins à part égale, au final, elle s’avérera être de composition majoritairement musulmane.

Mais là n’est pas le plus important !

Parmi eux, nous dit encore la rédactrice, « des députés juifs et arabes de la Knesseth israélienne ». Le nombre exact de députés juifs ne sera pas indiqué. Pour être précis, ceux-ci ne peuvent être au plus que quatre. Trois se trouvant dans le parti Meretz et un dans le parti communiste Hadach. Deux partis d’extrême gauche, partisans d’un Israël état de tous ses citoyens et évidemment débarrassé de tous les oripeaux du Judaïsme.

Rester en conséquence, pour la journaliste, dans le flou quantitatif et employer le pluriel attestera, dans l’esprit de tout lecteur, l’idée d’un nombre important. Ce qui induira le message subliminal d’une condamnation massive du gouvernement actuel.

Après ces petites contre-vérités sans réelle importance vient le réquisitoire.

Cette marche fut effectuée, nous dit-on, «en coordination avec les forces de l’ordre israéliennes qui ont déployé un important cordon policier tout le long du parcours. Elles ont dû intervenir à quelques reprises pour écarter des contre-manifestants juifs nationalistes ».

Le qualificatif « nationalistes », devenu dans le langage courant une injure, est réservé aux seuls juifs. Il ne sera donc pas employé pour désigner les manifestants de la «marche de l’indépendance». Le lectorat, mais pas seulement, ayant aperçut ici ou là quelques actions patriotiques en faveur d’une quête d’une nation pour les ‘’Palestiniens’’ se seront donc fourvoyés !

Ce rassemblement était, nous indique toujours l’auteur Renée-Anne Gutter, «l’itinéraire inverse de la marche effectuée le 1er juin dernier par des nationalistes israéliens, qui ont paradé dans les rues palestiniennes avec des drapeaux israéliens aux cris de "mort aux Arabes" ». « Il faut dire qu’à cette marche triomphaliste de la droite israélienne avaient participé des dizaines de milliers de personnes, venues des quatre coins d’Israël et des colonies juives ».

vendredi 15 juillet 2011

Qu'appelle t-on frontières défendables ?

Israël a un besoin crucial de frontières défendables. Cette vidéo donne un aperçu des menaces pesant sur ce pays. Roquettes, missiles balistiques, et menaces de l'air venant de l'est du nord et du sud, mais aussi celles arrivant du sol. D'où l'intérêt de réfléchir à ce que devra comprendre au minimum un accord de paix.

Version en anglais ou hébreu.



Version en français ici.

mercredi 13 juillet 2011

Le Processus de Paix est bel et bien mort

Le conflit proche-oriental est un sujet qui revient sans cesse à la une du jour depuis plusieurs décennies pour toute une panoplie de raisons. Quelques états se sont de tout temps proposés à être des médiateurs honnêtes, voire à aider et à contribuer à une résolution pacifique.

Il en est ainsi du Quartet, qui comprend les USA, la Russie, l’EU et l’Onu, qui s’est réuni le onze juillet dernier à Washington dans l’objectif de trouver un terrain d’entente a minima entre les Israéliens et les ‘’Palestiniens’’ afin de les pousser vers de nouvelles négociations. Quelques heures plus tard, le Quartet s’est séparé sans qu’aucun communiqué ne soit publié en raison, dixit un haut responsable de l'administration américaine, de l'écart entre les parties.

Aussitôt, Saëb Arekat, le responsable des négociations au nom de l’Autorité palestinienne s’empressa de déclarer à l’AFP qu’« Il n'existe aucune autre option pour quiconque que de soutenir la démarche palestinienne à l'ONU pour demander l'adhésion à part entière de l'Etat de Palestine sur les frontières de 1967 ». «Il est temps pour la communauté internationale de soutenir la tentative palestinienne pour obtenir l'adhésion de l'Etat de Palestine sur les frontières de 1967, parce que cette démarche préserve le processus de paix et le principe de la solution à deux Etats, que ruine Israël ».

Il a également ajouté, que « La tentative d'établir une égalité entre la victime palestinienne et le bourreau israélien qui occupe notre terre et de rejeter sur les deux parties la responsabilité de l'arrêt des négociations est faux et injuste ».

Mais qu’en est-il réellement ? A lire minutieusement ses dires, l’on s’aperçoit que les ‘’Palestiniens’’ réclament un état dans les « frontières de 1967 » sans qu’aucunes négociations ne soient menées. Un état qui comprendra évidemment la ville millénaire de Jérusalem si chère au seul cœur du peuple juif. Ceci préservera, ose t-il dire « le processus de paix et le principe de la solution à deux Etats, que ruine Israël ».

Un processus qu’une déclaration unilatérale onusienne rendra d’une part caduque mais qui, surtout, ne permettra pas de reconnaître son voisin pour ce qu’il est ! A savoir, l’état-nation du peuple juif. Seule raison invoquée par un diplomate occidental concernant l’échec du Quartet : «Les Palestiniens sont censés obtenir les frontières de 1967 avec des échanges de terres et les Israéliens voulaient en retour la reconnaissance d’Israël comme la patrie des Juifs, mais il n’y eu aucun accord sur cette question ».

lundi 11 juillet 2011

La Nakba de Rue89

Rue89 est un site de gauche et donc peu sympathisant d’Israël et de ses soutiens. Dès lors qu’une polémique se créée autour du passé, du présent ou même du futur de l’état juif, il se fait un devoir de présenter et défendre les faits selon la vision qui le lèse le plus.

Plusieurs associations juives françaises se sont insurgées, nous rapporte un article de ce site intitulé « Des difficultés d'enseigner le conflit israélo-arabe en France », de voir en page 139 d’une nouvelle édition scolaire et lors d’un chapitre concernant « L'ONU et la question palestinienne, 1947-1948 » , une photographie de ‘’Palestiniens’’ chargeant une camionnette avec pour seule légende : « La Nakba. Les conquêtes de l'armée israélienne ont entraîné l'exode de près de 700 000 Palestiniens ».

Dans la partie vocabulaire de ce chapitre nous rappelle Rue89, le terme «Nakba » est défini ainsi : « Nakba : (“catastrophe” en arabe) expulsion de populations palestiniennes pendant la guerre israélo-arabe de 1948 ».

Ainsi, les termes « ‘’conquêtes’’,’’ ont entraîné’’ et ‘’expulsion’’ » employés dans le nouveau manuel de clase de première ne sont pas, selon Sébastien Ledoux (1) historien et Samuel Ghiles Meilhac (2) sociologue -tous deux rédacteurs de l’article-, « contestables » comme l’affirme après relecture l’éditeur Hachette.

A preuve selon ces derniers, « l'historiographie israélienne elle-même. Les positions des « nouveaux historiens » israéliens qui avaient, voici une vingtaine d'années, mis en cause le discours officiel autour de la création d'Israël, en mettant entre autres en avant les conséquences de la guerre de 1948 sur les populations civiles palestiniennes, sont maintenant intégrées dans les milieux académiques israéliens ».

- Que ces ‘’nouveaux historiens’’ ne soient qu’une toute petite poignée et que leur lecture de l’histoire soit très controversée au sein même des universités israéliennes ne sera pas signalé ici aux lecteurs. Quand bien même cette approche de l’histoire ne serait pas pleinement contestée, elle n’en resterait pas moins minoritaire au sein des historiens. Ce qui ne peut donc justifier son enseignement sans une sérieuse mise en garde.

- Il ne sera pas dit également dans l’article, que nulle académie israélienne n’adopte à ce jour une version stipulant que l’état d’Israël, renaissant alors, avait des projets de « conquêtes », responsables en conséquence de « l'exode de près de 700 000 Palestiniens », ni que ces derniers ne furent « expulsés » par les soins d’une armée et d’un peuple en prise alors dans un combat existentiel.

Les ‘’nouveaux historiens’’ ne sont donc ici que l’alibi d’une propagande qui se cache et qui dénonce, sans ciller, ces associations juives françaises -récalcitrantes à cette version de l’histoire- d’avoir une « logique politique qui suit les courants politiques israéliens » (sic) !

Raisonnement qui autorise en conséquence ces ‘’intellectuels’’ évidemment ‘’neutres’’ à faire accroire que la version première du livre scolaire serait ainsi conforme à la réalité.

vendredi 8 juillet 2011

Un fiasco complet

Sur l’agenda 2011 de l’Autorité palestinienne, mais aussi sur celui de ses soutiens, était prévu un planning à faire craquer l’état d’Israël et l’amener à négocier aux conditions posées d’avance. Autrement dit à le faire capituler jusqu’à renier sa qualité de refuge pour le peuple juif.

En mai devait être célébrée la Nakba, rappelant la faute israélienne de sa renaissance en 1948 et « l’usurpation de la Palestine ». Cette année, le programme promettait que « tous les pays limitrophes de la Palestine occupée seront de la partie pour cette marche du retour : Liban, Syrie, Jordanie, et Égypte… ». En fait, hormis les traditionnelles manifestations ‘’palestiniennes’’ et heurts avec les autorités israéliennes, quelques centaines de Libanais et de Syriens se sont rapprochés de la frontière. Quelques uns d’entre eux l’ont franchi à Majdel Shams, qui surplombe le Golan, le temps d’une photo. 

Rien donc de plus conséquent que les années précédentes malgré la grande mobilisation de leurs soutiens à travers la planète !

En juin devait être commémorée la Naksa rappelant la perte de Jérusalem en 1967. Un appel fut lancé sur Facebook pour que soit organisée une « marche du retour » pour prendre d’assaut les frontières d’Israël et qui soit synchronisée avec l’arrivée de la « Flottille de la Liberté 2 » à Gaza. Quelques centaines de frontaliers seulement agitant des drapeaux ‘’palestiniens’’ furent aperçus mais ne purent franchir de nouveau les limites internationales.

Ce qui sonne comme un deuxième échec.

La « Flottille de la Liberté II » devait être composée d’une quinzaine de bateaux et contenir plus de mille cinq cents passagers -dont des journalistes, hommes politiques et célébrités-, pour défier l’armée israélienne et dénoncer un blocus « illégal ». Aucun flottille ne put, au final, s’approcher de la zone interdite car condamnée par l’ensemble de la communauté internationale qui s’apprête, au travers de l’Onu et de son enquête, à déclarer le blocus de la bande de Gaza tout à fait légitime. 

Ce qui condamne, pour le moins, toutes futures organisations de nouvelles flottilles et se révèle être un échec supplémentaire.